Retrouver l’humain travaillant

Si la confiance en soi est à l’ordre du jour, plus davantage aujourd’hui encore qu’hier, c’est que la complexité de la psyché humaine à laquelle s’ajoute celle des organisations, nous a conduit à adopter une démarche innovante pour aborder cette problématique pour l’humain travaillant.

Nous allons découvrir ensemble de quoi il est question est comment nous choisi d’y répondre en 3 points :

humain travaillant

Est-ce l’humain ou son avatar mécanique au travail ?

Si l’humain consacre une part très importante de son existence à travailler, et avant à s’y préparer, le contexte du travail ne lui propose pas toujours des satisfactions. Ce contexte du travail peut même l’entraîner à s’y sentir mal à l’aise. Pourtant, le plus souvent, ce malaise n’est pas apparent mais ses manifestations s’accroissent au point de provoquer un burn-out ou d’autres situations aiguës. Et avant d’être manifestes, des signes avant-coureurs laissent pourtant prévoir des difficultés à venir.

Il ne s’agit pas là d’incriminer un camp ou un autre. Il s’agit plutôt de pointer des aspects de notre société qui peuvent être sources de dysfonctionnement pour certains.

La réactivité, l’efficacité et même l’efficience deviennent des caractéristiques impératives du monde du travail. Elles supposent une qualité de motivation, de présence et d’engagement de la part du travailleur. Mais l’Homme travaillant peut éprouver des difficultés lorsqu’il se perçoit, appréhendé comme un agent, un individu, un sujet, une fonction ou un rôle.

Nous savons que tous être engagés dans des habitudes de fonctionnement. L’impression de l’accélération du temps et la course à la productivité nous obligent ainsi parfois à simplifier, raccourci voire neutraliser l’humanité dans nos échanges.

C’est ainsi que votre interlocuteur a raccroché immédiatement quand vous avez indiqué votre refus à sa prospection commerciale, sans même qu’il vous souhaite une bonne soirée. C’est ainsi qu’on en vient à en ressentir les contreparties que sont le manque de reconnaissance, de considération, ce qui à terme, agit sur la confiance en soi.

A l’origine, aucune intentionnalité de mal agir ne peut exister. Pourtant le cours des choses du quotidien tend, de nos jours, à transformer l’humain en sa réplique mécanique, une forme d’humanoïde réduit à sa plus simple expression.

L’humain et son rôle au travail

L’humain travaillant reste, malgré les étiquettes qui caractérisent ses fonctions et ses responsabilités, celui qui est porteur d’attentes, de besoins, de ressentiments, mais qui peut aussi être une force de proposition lorsqu’il se ressent en confiance.

Le ressenti de la confiance est émotionnel tout comme la perception que l’homme travaillant a de son milieu professionnel et de son organisation, comme de son équipe, de ses collègues et de sa hiérarchie. De plus, quel que soit le niveau dans la hiérarchie, la dimension émotionnelle est bien sûr, subjective, mais elle est tout autant la garantie du fait que l’humain est vivant. Nous savons, par ailleurs, que la mémoire émotionnelle marque l’être humain de sillons qui impactent son fonctionnement et l’ensemble de sa perception.

L’époque que nous traversons présente de nombreux domaines en crise et celui du travail n’y fait pas exception. Pourtant, lorsque nous nous posons pour considérer la période que nous traversons, marquée par la technologie et ses promesses et en même temps par un besoin de reconnaissance de plus en plus aiguë, comment ne pas comprendre qu’un mal-être puisse être ressenti ?

Comment ne pas admettre qu’il peut être difficile de s’accepter comme un agent agissant alors qu’au fond de nous, nous aurions besoin de considération ? Comment ne pas réagir lorsque l’entreprise paraît se résumer, certaines semaines, à des ordres venus d’en haut, des résultats à obtenir pour ceux d’en bas, sans réelle étape de communication humaine entre ceux qui décident et ceux qui exécutent ?

Il est vrai qu’à certains moments, il peut nous arriver d’être enfermés dans nos fonctions ou nos rôles au point d’en oublier la nature profonde de la personne que nous sommes ! Cet aspect est ressenti jusqu’à se traduire par des regrets, une déception, une démobilisation, un découragement, etc. Serions-nous devenus des pions nécessaires mais encombrants dès lors que nous nous manifestons comme humains ?

Le Nu Solide réhabilite l’humain travaillant

Toutes ces considérations et ces questionnements ont présidé à la création du parcours d’auto-coaching et d’auto-introspection. Il est mis à la disposition de chacun, ou du collectif de travail (un service, un département, toute l’entreprise). Le Nu Solide permet de mobiliser durablement et de façon autonome, l’homme travaillant dans son rapport à lui-même afin qu’il soit confiant en lui. Être confiant en soi, c’est d’abord être. Cette conscience d’être nécessite de s’accepter avec authenticité et humilité, dans ses imperfections mais aussi dans ses attentes, ses besoins afin de les confronter à la réalité.

LE NU SOLIDE, c’est un moyen de se poser pour être observateur de soi tout en continuant à être acteur. C’est s’appuyer lucidement sur nos réalisations pour être capable de décider à travailler les zones de nos faiblesses en conscience. C’est ainsi vous allez vous renforcer et être confiant en vous.

LE NU SOLIDE contribue à vous rendre AUTONOME pour coopérer au travail en contribuant au mieux aux objectifs communs et individuels. Pour devenir un acteur qui ne perd pas de vue son être, c’est-à-dire sa compétence humaine y compris en cas de tourmente.

LE NU SOLIDE, c’est offrir à l’humain travaillant, un moyen de mieux se connaître, sans témoin, pour mieux s’apprécier et en conséquence, mieux s’assumer. C’est offrir à chacun l’ouverture pour entretenir sa compétence et développer son charisme professionnel. Conscient de son interdépendance avec ses collègue, c’est tout le collectif de travail qui progresse.

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